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Villa Albertine

Présente dans 10 villes aux États-Unis, la Villa Albertine renouvelle le concept de résidence d’artistes : ce n’est plus aux résidents de s’adapter à la Villa, c’est désormais à la Villa de s’adapter aux résidents. source

Les dix villes avec une Villa Albertine

Derrière le logo de Coca-Cola, qui y a son siège, et l’image d’une ville tentaculaire qui n’a d’égal que Los Angeles, Atlanta a toujours assumé sa différence parmi les grandes villes américaines. Ville-symbole d’une mixité raciale réussie dans le contexte difficile du Southeast américain, berceau du mouvement des droits civiques, Atlanta est aujourd’hui confrontée – du fait même de sa réussite – à des défis urbains sans précédent. C’est au cœur de ces enjeux et de cet écosystème que la Villa Albertine a choisi de s’installer, en ouvrant une antenne à Atlanta. source

Boston Tea Party, Harvard, MIT. Trois symboles qui font de Boston à la fois un berceau historique des Etats-Unis, l’Athènes de l’Amérique et une référence de la high tech. La ville industrielle s’est peu à peu métamorphosée en un pôle d’excellence scientifique et d’innovation technologique, incarné notamment par la Route 128 qui relie plus de 300 entreprises et laboratoires de biologie et génétique, nanotechnologies et informatique. En marge de ce pôle, Boston se découvre plus fragile : entre inégalités et défi climatique. En s’installant à Boston, la Villa Albertine veut notamment inviter ses résidents à explorer les croisements entre connaissance, arts et technologies, pour percer certaines clés du monde actuel et contribuer à dessiner celui qui vient. source

Capitale mondiale de l’architecture moderne, Chicago surprend par son paysage urbain incomparable qui fait face à l’immensité du lac Michigan. Située au cœur de la grande région agricole du Midwest, c’est aussi une métropole verte émaillée de parcs et traversée par la Chicago river. Connue pour son passé industriel et ses fortes inégalités, Chicago s’appuie sur ses paradoxes pour devenir laboratoire d’expérimentations urbaines, d’innovations sociales et artistiques à l’aulne des enjeux contemporains de diversité, d’équité et d’inclusion. C’est au sein de ce vibrant terreau urbain, social et culturel que la Villa Albertine explorera à Chicago les enjeux de la fabrique et de la (ré)invention de la ville. source

Basée à Houston, la Villa Albertine accueille des résidents sur l’ensemble du Texas et notamment à Marfa dans le cadre de la première saison. Houston et Marfa représentent à elles deux les contrastes du Texas : Houston est la « Bayou City » – ville tentaculaire, multiculturelle, centre des industries aérospatiale et pétrolière, quand Marfa est une petite ville rurale en plein désert aux portes du Mexique, devenue un lieu mythique de l’art contemporain. En s’installant à Houston, et en emmenant ses premiers résidents à Marfa, la Villa Albertine veut ainsi rappeler que les artistes et les penseurs ont toujours été partie prenante de l’exploration des nouvelles frontières, et qu’ils doivent l’être aujourd’hui plus que jamais. Source

Marfa et ses environs sont un emplacement idéal pour observer les étoiles dans le désert. La Big Bend International Dark Sky Reserve a été certifiée en 2022 et est la plus grande réserve de ciel étoilé protégé au monde. Elle s’étend de Fort Davis, au Texas, jusqu’au fleuve du Rio Grande et à trois zones protégées au Mexique. Il abrite le McDonald Observatory, un observatoire astronomique de rang mondial et un centre de recherche à Fort Davis, à moins de 60 km au nord de Marfa. Marfa, c’est aussi une oasis artistique dans le désert et un avant-poste d’art contemporain de renommée internationale depuis 1979, lorsque l’artiste minimaliste Donald Judd a décidé de quitter l’agitation de Manhattan pour la solitude de Marfa. Avec sa combinaison unique de ruralité et d’excentricité, Marfa est devenue l’un des grands centres d’art contemporain au monde, où une nouvelle génération d’artistes entretient toujours la flamme.

Résidents

MARFA – octobre 2022 – Comment déconstruire les imaginaires de l’espace ? Est-il possible d’envisager son exploration sans alimenter la soif de conquête ? La Villa Albertine, nouvel établissement culturel du ministère des Affaires Etrangères, lance en partenariat avec le Centre Pompidou, un nouveau programme qui traitera de ces problématiques en accueillant quatre créateurs et chercheurs. Léa Bismuth, autrice et commissaire d’exposition, Vanessa del Campo, réalisatrice et ingénieure aérospatiale, Elizabeth Hong, artiste et designer, et Jean-Philippe Uzan, directeur de recherche au CNRS ont été sélectionnés pour conduire chacun un projet de résidence du 5 octobre au 5 novembre, à Marfa, aux portes du désert texan. 

Capitale mondiale du storytelling, Los Angeles produit sa propre mythologie. L’étoile d’Hollywood commence à pâlir : plusieurs studios et salles mythiques ont fermé, les tensions économiques, sociales et raciales travaillent en profondeur les 88 banlieues d’une ville. Depuis une trentaine d’années, « LA » se transforme et propose, au-delà du cinéma, une synthèse originale entre Hollywood et la Silicon Valley : LA est à la fois le foyer global et le premier terrain de jeu des plateformes créatives, des industries de contenu, et d’un nouveau type de créateurs qui semblent avoir pris le pouvoir dans cette nouvelle ère du divertissement : les influenceurs. En ouvrant une antenne à Los Angeles, la Villa Albertine veut observer les bouleversements en cours du paysage culturel mondial, notamment du fait des plateformes de contenu et des réseaux sociaux, et permettre aux acteurs culturels français d’y trouver toute leur place. source

Ce que l’on connait de Miami est souvent réduit aux lieux branchés du quartier de Miami Beach, plébiscités sur Instagram. À la croisée de la Caraïbe et de l’Amérique latine, elle n’en demeure pas moins une ville en perpétuelle transformation, creuset de multiples diasporas où l’espagnol s’est imposé comme langue du quotidien. Réputée pour son mode de vie latin, Miami est une ville adolescente, indisciplinée, mais de moins en moins insouciante : des ouragans en passant par l’élévation du niveau des océans, « Magic City » fait face à d’importants enjeux environnementaux. qui menacent sa survie. Laboratoire du monde à venir, elle est un lieu d’engagement, de réflexion et d’expérimentation réunissant associations, communautés, universités, fondations privées et pouvoirs publics, dans la lutte contre le réchauffement et la gentrification climatique, pour la préservation de la biodiversité et l’engagement citoyen. C’est au cœur de cet écosystème que la Villa Albertine invitera ses premiers résidents, sélectionnés en collaboration avec Art Explora, à explorer les questions environnementales qui agitent Miami et notre monde. source

Dans l’imaginaire new yorkais se croisent Paul Auster, The Velvet Underground, Patti Smith, Keith Haring et Martin Scorsese. Ce symbole urbain du rêve américain est celui de l’avant-garde et des courants alternatifs que New York a vu naître : de la Beat Generation, au bebop, au minimalisme, au mouvement du Judson Dance Theater. Singulièrement à l’heure de la cancel culture, comment la contre-culture échappe-t-elle au destin de devenir mainstream voire impérialiste à sa manière ? New York, heureusement, n’est jamais où on l’attend, et il faut y (re)venir pour explorer les nouvelles marges artistiques. La Villa Albertine a son siège à New York, dans la Payne Whitney Mansion, chef d’œuvre de Stanford-White et exceptionnel témoignage de l’âge d’or new yorkais. Le bâtiment abrite également la librairie Albertine et donne sur la 5th Avenue, à l’angle Sud du MET et face à Central Park. source

Berceau du Jazz et capitale américaine de la tradition du Mardi-Gras et de la renaissance de la francophonie, La Nouvelle-Orléans s’imprime depuis longtemps dans l’imaginaire collectif, particulièrement dans celui des Français. Derrière ces images familières, pour certaines bien vivantes, se cache une réalité complexe, fruit de multiples héritages. Ville palimpseste par nécessité, menacée chaque année par les ouragans La Nouvelle-Orléans tente de préserver son identité tout en relevant les défis environnementaux et sociétaux d’une ville américaine contemporaine. C’est dans ce territoire clé pour la relation franco-américaine, fruit d’une sédimentation culturelle unique, que la Villa Albertine a choisi de s’installer. source

Ville des ruées vers toutes les quêtes de liberté, San Francisco attire à elle des communautés poétiques, militantes, visionnaires et entrepreneuriales qui s’emploient à secouer le monde contemporain. Portée par un écosystème numérique à la pointe de l’innovation mondiale, San Francisco est également marquée par un accroissement des inégalités, la transformation de certains quartiers du fait de la gentrification, ou encore une relocalisation des employés hors de la baie due au télétravail des entreprises de la Silicon Valley. Chaudron utopique et dystopique, qui n’a jamais cessé de nous étonner, San Francisco nous invite à questionner le monde dans sa complexité et ses contradictions. Avec la Villa San Francisco, la Villa Albertine veut animer en lien avec les acteurs locaux de San Francisco (entreprises, universités, institutions culturelles) un espace de dialogue qui place les artistes et les penseurs au cœur de ces enjeux. source

À l’image de l’immense inscription « Black Lives Matter » tracée en lettres jaunes sur la 16ème avenue qui mène à la Maison Blanche, Washington DC est à la fois le centre du pouvoir politique américain et le haut-lieu de manifestations sur les grands enjeux qui traversent la société américaine. Les institutions gouvernementales mais aussi culturelles, au premier rang desquels les musées nationaux du Smithsonian, y jouent un rôle central dans la compréhension que les Américains ont de leur passé pour affronter les défis du présent et construire l’avenir des États-Unis. C’est au cœur de cette ville où politique et culture se font écho que la Villa Albertine s’installe, pour inviter des créateurs, penseurs et professionnels de la culture à dialoguer et mener des expérimentations autour du futur des institutions culturelles, à l’heure de bouleversements sans précédent. source

Résidents

Source première de l’information sur la Villa Albertine indiquée sur mon blog au 22 novembre 2022

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Publié par bernadette1couturier

Ancienne Professeur, puis Documentaliste, maintenant à la retraite, j'ai eu envie de tenir un blog sur des faits qui se sont produits un certain jour. En ajoutant des liens intéressants.

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